Et déjà Tshinkunku, ce vendredi…

Le coach Hubert analyse et… compte ses joueurs

LE TPM EST RENTRE A LUBUMBASHI

Et déjà Tshinkunku, ce vendredi…

27 janvier 2016

Le TPM est rentré à Lubumbashi, ce mercredi après-midi, avec deux points sur les six possibles à Mbuji-Mayi. Deux nuls, deux buts marqués seulement derrière une avalanche d’occasions. Et deux penaltys encaissés au cours de deux matches où l’équipe a pourtant mené au score. Frustrant !

Le coach Hubert VELUD, qui en était à son premier voyage avec les Corbeaux, a présenté un petit bilan de ce déplacement et mentionné dans cet entretien ce qu’il compte améliorer.

Quel bilan pour les deux matches ?

« Après 4 jours passés à Mbuji-Mayi, je ne veux pas faire seulement le bilan des deux matches. Pour mon premier déplacement avec l’équipe, je dois faire aussi le bilan de la vie quotidienne du groupe. J’ai pu constater un très bon état d’esprit, une très bonne ambiance et surtout aucun cas d’indiscipline et j’espère que ça va durer. C’est un point très important et positif par rapport à l’équipe. Quant au  bilan des matches, les deux oppositions se sont ressemblées puisqu’on a eu beaucoup de problèmes à développer le jeu sur un terrain difficile. Malgré tout, on a réussi à ouvrir la marque. Je pense que quand on marque sur ce terrain il faut essayer de préserver le score, ce qu’on n’a pas réussi à faire pour diverses raisons. On a eu deux penaltys un peu difficiles à digérer, c’est dommage. 

A part ça, on doit, dans les prochains jours savoir "tuer" les matches plus rapidement. A Mbuji-Mayi, à 1-0 on a encore eu des balles de 2-0 voire de 3-0 qu’on n’a pas su concrétiser, c’est un peu ça le petit défaut du séjour. Globalement, je suis très satisfait pour ce qui concerne l’état d’esprit. »

Que faut-il améliorer ?

« Au niveau de mon travail, c’est très difficile parce que je n’ai pas pu faire, jusqu’à ce jour, faute de temps, des entraînements sérieux avec l’équipe. On ne fait que des séances de récupération. Je suis encore en phase d’observation, il y a des choses à améliorer. J’ai besoin d’un peu du temps pour pouvoir travailler. Les points à améliorer par exemple, et je le répète, c’est de tuer les matches plus vite quand vous vous offrez des occasions à l’entame de la partie comme à Mbuji-Mayi. L’efficacité offensive doit être le maître mot… »

Le coach ne veut pas se plaindre davantage. Ce vendredi, contre Tshinkunku, il récupèrera du monde et pourra « élargir la troupe ». Le travail de fond, c’est pour plus tard.

 

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