Nous étions persuadés qu'en vous demandant de soutenir le TP Mazembe, nous recevrions un nombre important de réponses. Et c'est bien le cas. Sur la boîte CONTACT du site officiel comme sur la page Facebook, vos messages se succèdent à un rythme soutenu.

Les supporters des Corbeaux, fans et fanatiques, ont bon nombre de points communs  qui se dégagent des messages que nous recevons. La note dominante : vous avez pardonné à vos joueurs leur faux pas contre BEREKUM Chelsea. Et vous croyez dur comme fer que l'équipe a mangé son "pain noir" dans ces deux premiers matches des quarts de finale. Désormais plus rien ne pourra l'arrêter disent la majorité d'entre vous.

Des messages venus du monde entier

Ce qui frappe encore, c'est l'étendue internationale du mouvement mazembien. Le nombre de pays d'où proviennent vos mails et posts a de quoi impressionner. Nous avons relevé, derrière une vingtaine de villes congolaises, les pays d'Afrique tels le Maroc (Fes), la Côte d'Ivoire (Abidjan), le Malawi (Blantye), le Rwanda (Gysenyi), le Mozambique, la Zambie (Kitwe, Ndola), l'Angola (Luanda, Saurimo) et bien sûr l'Afrique du Sud (Cape Town, Pretoria et Jo'bourg). Mais l'Europe n'est pas en reste avec l'Italie (Rome), la Belgique (Bruxelles), la France (Paris, Bordeaux), les Pays-Bas (Leiden), la Suisse (Locarno), l'Ukraine(Donetzk), l'Allemagne (Dortmund) et le Luxembourg. Ajoutez à tout cela l'Inde (New Delhi), le Canada (Ottawa, Montréal), le Mexique et la Chine et vous aurez fait le tour du globe.

Le prénom de Mazembe...

Vos messages sont forts, enflammés, originaux, parfois émouvants et poétiques. Pour aujourd'hui, nous avons retenu celui de Ghyslain NYEMBO de Tunisie qui pense que "quelque fois, l'échec est nécessaire à l'artiste" pour mieux repartir, alors que pour Saleh AMISI, "Victoire, c'est le prénom de Mazembe"... Si Benjamin MUKALAY de Donetz affirme "dans le malheur comme dans le bonheur je reste Corbeau", de nombreux anglophones sont catégoriques "Yes, you can!". "Faites nous rêver" est un slogan qui résume bien ce que vous attendez du TPM, on laissera la conclusion du jour au poète Ben Bernard OSOKO qui écrit : "que l'on dise au soleil de cesser de briller, que l'on dise au vent de cesser de souffler, que l'on dise aux enfants de cesser de crier, aux oiseaux de cesser de chanter, au chanteur de cesser de jouer, on ne dira jamais à mon cœur de cesser d'aimer le TP Mazembe."

Continuer vos envois, mobiliser les amis : c'est une montagne de messages que nous voulons transmettre aux Corbeaux!