Galilée NGALULA KALONDA : "Mazembe club de mon cœur"

Galilée KALONDA NGALULA, supporteur du TPM depuis 2004

LE 100 000ème SUR NOTRE PAGE FACEBOOK

Galilée NGALULA KALONDA : "Mazembe club de mon cœur"

19 juin 2014

Galilée NGALULA KALONDA est Kinois célibataire, né le 9 septembre 1992 dans la capitale, fils de Benoît KALONDA et  Bébé NGALULA. Il est diplômé d’Etat (l'équivalent du bac) en section Biochimie et à la recherche d'un emploi. Pourquoi nous sommes partis l'interviewer ? Parce qu'il a été le 100 000ème à cliquer sur "J'aime" pour venir sur la page Facebook officielle du TP Mazembe.

Pourquoi es-tu sur Facebook ? Combien de temps y passes-tu en moyenne chaque jour ? Sur téléphone, tablette ou ordinateur ?

Je n’avais plus des contacts avec mes anciens collègues de classe et amis d’enfance, mais grâce à Facebook j'ai pu rétablir les liens avec beaucoup d’entre eux. J’ai la possibilité de voir des offres d’emploi malheureusement jusqu’à ce jour aucune ne correspond à mon profil et mes capacités intellectuelles. Je suis sur le réseau grâce à mon mobile, non pour me distraire mais trouver des choses intéressantes, par exemple avoir des informations liées à mon club chéri, le TPM, via son compte officiel.

Tu es diplômé d’Etat, pourquoi s’arrêter à ce niveau ? Que fais-tu de tes journées ?

Je suis diplômé en biochimie, faute de moyens financiers, je ne peux pas aller à l’université. Je passe mon temps à rédiger ce qui me passe par la tête. Je suis devant la télévision, sur Internet et m’occupe aussi aux autres occupations de la maison.

As-tu joué ou joues-tu au foot ?

J’ai pratiqué le football de la rue durant mon enfance sur le terrain du complexe scolaire Mont-Amba dans la commune de Lemba où j’habite. Depuis la résidence des parents au quartier Banza Lemba sur l’avenue Livulu, avec des amis nous parcourions 5 à 10 minutes pour aller trouver un espace de jeu. Entre études et football, j’ai donné la priorité à l’école raison pour laquelle je n’ai pas fait partie d’un club amateur. Même si je n’ai pas progressé en tant que joueur, j’aime le football que je pratique aujourd’hui avec des amis comme loisir.

Tu supportes Mazembe depuis quand, et quelles sont tes  motivations ?

J’ai appris à connaître et à aimer Mazembe depuis 2004. Sur le plan national, c’est le premier club de mon cœur. Au contraire de ce qui se passe à Kinshasa, Mazembe a su conquérir mon cœur par son histoire, son jeu et surtout le mystère qu’il y a autour de cette équipe. Supporter une équipe c’est une chose naturelle pour moi  parce que ça vient spontanément. Le plus important comme pour mon cas c’est de porter le club dans son cœur.

Qui sont tes joueurs préférés au TPM hier et aujourd’hui ?

Aujourd’hui mon joueur préféré est Solomon ASANTE, hier c’étaient Trésor MPUTU et Alain KALUYITUKA.

Quel est ton jugement sur l’équipe de Mazembe 2014 ?

2014 est une année de reconstruction avec obligation de résultats. Ça n’a pas été facile depuis le début de la saison mais les résultats à mi-chemin sont prometteurs. Battre V. Club à trois reprises et s’adjuger le titre de Champion du Congo, terminer la phase aller des quarts de finale de la Ligue des Champions en tête du groupe malgré une défaite d’entrée, c’est bien parti et j’y crois. Comme le Président Moïse KATUMBI le veut, on est tout près d’atteindre les objectifs du club, il reste encore un pallier à passer.

Seras-tu au match retour V.Club - Mazembe ?

Je serais bien au stade, cela sans poser aucune condition. Si vous m’offrez un billet, ce sera encore très sympathique, Mazembe est mon club de rêve, comment rester à la maison quand il se produit à Kinshasa ?

As-tu une suggestion à faire ?

Je demande au Président Moïse KATUMBI de poursuivre son projet avec notre club, je suggère aussi qu’il valorise les talents nationaux et enfin je prie tous les supporteurs  de comprendre la politique du club ce jour. Les joueurs et le staff technique ont une obligation de résultats, raison pour laquelle le Président n’hésite pas un seul instant à aller chercher les perles rares à travers l’Afrique pour étoffer l’effectif. 

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